Suite à sa candidature auprès de Villes et Villages Fleuris, la Commune a obtenu le maintien de sa première fleur le 15 novembre dernier. Les instances du label, qui prennent en compte le cadre de vie dans sa globalité et la capacité d’adaptation aux changements climatiques, ont constaté lors de leur dernier passage les nombreux efforts que la Ville de Bassens mène au quotidien sur ces sujets.
Les multiples actions menées par la Commune afin de garantir le bien-être et le bien-vivre de chacun, en proposant, en plus de l’esthétisme paysager, de nombreuses avancées dans le domaine du développement durable :
Valorisation des déchets verts et organiques
– Broyeur à végétaux : réduit la quantité de déchets verts, favorise l’élimination des végétaux, permet le paillage individuel des jardins et espaces fleuris de tout un chacun. La technique du paillage évite l’emploi de produits phytosanitaires et limite les arrosages.
– Le compostage des déchets verts et organiques permet de fertiliser les jardins.
Gestion de l’eau et l’électricité
– Cuves de récupération d’eau : fait face aux potentielles restrictions d’eau et permet d’économiser face aux augmentations successives du prix de l’eau.
– Panneaux solaires sur l’atelier des services techniques : réduit la consommation et assure l’autonomie du bâtiment.
– Ampoules LED sur l’éclairage public de la Commune : réduit la consommation.
– Un véhicule électrique aux services techniques : plus économique et plus écologique.
Fleurissement – techniques et entretien
– Achat de plantations en circuit court : contribue au commerce local.
– Plantation d’espèces vivaces : limite l’arrosage suite aux épisodes de sécheresse, bénéficie d’un fleurissement qui perdure dans le temps et constitue un gain de temps pour les agents.
– Paillage : économise l’eau, limite l’intervention humaine, retient l’humidité dans le sol, favorise le développement de la vie souterraine et enrichit le sol, sans utiliser le réseau d’eau potable.
Une gestion des espaces verts par zone
– Gestion très intensive : embellit les points stratégiques de forte fréquentation, qui reflètent l’image de la commune.
– Gestion intensive : maintient un aspect visuel structuré et la sécurité des lieux fréquentés par les usagers. Valorise les déchets verts.
– Gestion extensive : limite l’intervention humaine, permet de réaliser des économies, favorise et protège la biodiversité.
– Gestion naturelle : favorise le développement de la faune, de la flore et crée un écosystème.
Le groupement de communes de Chambéry, La Motte-Servolex, Bassens et Cognin a confié à Dalkia, au travers de la société dédiée R3C, la délégation de service public du réseau de chaleur sur son territoire pour une durée de 25 ans, avec une fourniture de chauffage et d’eau chaude sanitaire qui débute au 1er septembre 2024.
Le Réseau de Chaleur de la Cluse de Chambéry (R3C) constitue un véritable outil d’aménagement du territoire et un levier essentiel de la transition énergétique pour le bassin chambérien.
À terme, tout le centre de la commune de Bassens pourra être desservi (logements, activités économiques, équipements publics).
Le contrat prévoit une réduction des coûts de chauffage pour la majorité des abonnés. Avec plus de 94% d’énergies renouvelables et de récupération, le projet de Dalkia représente un grand pas vers la décarbonation du territoire, supprimant ainsi l’émission de 75 000 tonnes de
CO2, soit 40 000 véhicules retirés de la circulation dans l’agglomération du Grand Chambéry.
Pour s’inscrire dans une démarche économique et écologique, le Bassens Actualités évolue en version numérique.
Des bulletins municipaux en version papier resteront à disposition à l’accueil de la Mairie et de la Médiathèque.
Les travaux d’installation de panneaux photovoltaïques sont en cours sur les toitures du gymnase et de l’Espace Colombe, avec l’objectif d’une mise en service au premier semestre 2025. Le projet, piloté et financé par le SDES – Syndicat Départemental d’Energie de la Savoie et l’implantation, garantira la redistribution d’électricité à moindre coût sur la commune et ses bâtiments publics.
Les ampoules énergivores et obsolètes de ces bâtiments ont été remplacées par un éclairage LED permettant ainsi une économie d’énergie significative, une meilleure gestion de l’intensité lumineuse et un plus grand confort d’utilisation.
Le brûlage à l’air libre des déchets verts est formellement interdit pour les particuliers. Les contrevenants s’exposent à une amende d’un montant pouvant atteindre jusqu’à 750 €.
La combustion à l’air libre de végétaux est une activité fortement émettrice de polluants dont certains cancérigènes et d’autres responsables du changement climatique. Elle contribue de façon significative à la dégradation de la qualité de l’air, responsable de 40 000 décès prématurés par an.
Pour la santé de tous et en particulier des plus fragile, soyez vigilant !
50 kg de déchets verts brûlés (environ 5 sacs de 60 litres) équivaut à 23 000 km parcourus par une voiture essence et diesel récente en circulation urbaine.
Choisissez des solutions adaptées à vos besoins et respectueuses de la qualité de l’air et de l’environnement :
– Le compostage individuel et collectif
– Le broyage, le paillage et le mulching
– En dernier lieu, le dépôt en déchetterie
Aujourd’hui, les déchets compostables représentent 1/3 du contenu d’une poubelle d’ordures ménagères (environ 84 kilos/an/habitant). Lorsqu’ils ne sont pas compostés, ces déchets génèrent une consommation en transport et incinération conséquente.
Composter permet d’éviter un gaspillage énergétique lors de l’incinération de ces déchets qui sont majoritairement composés d’eau.
Une fois compostés, ils représentent une ressource utile qui enrichit nos sols et améliore la qualité des végétaux et légumes dans les potagers. Les déchets compostables rentrent alors dans le cercle vertueux de la terre à l’assiette et de l’assiette à la terre.
Le verre, qu’il soit blanc ou de couleur, est dorénavant déposé sans distinction dans un même conteneur et ce, pour des raisons de coût. Ne soyez pas surpris si sur certains sites, il n’y a plus qu’un seul conteneur.
Des conteneurs de piles usagées sont en place sur la commune de Bassens, à la mairie, aux écoles du Chef-lieu, à l’école primaire de la Plaine, à Carrefour et au tabac presse Rue Centrale.
La loi n° 2023-175 du 10 mars 2023 appelle à ce que les Communes définissent des zones présentant un potentiel de production d’énergies renouvelables, en lien avec différents documents d’urbanismes (PLUiHD, loi zéro artificialisation…).
Cette planification territoriale se présente sous la forme du dispositif ZAcc EnR (zones d’accélération de la production d’énergies renouvelables).
Dans ce cadre, les collectivités doivent présenter prochainement (à Grand Chambéry, puis à l’État) un potentiel d’implantation concernant les énergies solaires, géothermiques et éoliennes, qui permettra d’affirmer leur volonté politique auprès des porteurs de projets.
Concernant les zones envisagées (ZAcc Enr) pour la Commune de Bassens :
– Le secteur du parking Sadier pour un développement d’ombrières photovoltaïques
– Le secteur Mairie et le quartier de la Martinière pour la poursuite du réseau de chaleur
– Le secteur de l’espace Colombe et du gymnase du Chef-lieu pour la pose de panneaux photovoltaïques en toiture
Toutes informations complémentaires en Mairie. N’hésitez pas à réagir sur ce sujet en utilisant le formulaire de contact.
La Commune a officiellement approuvé la convention portée par le CISALB (Comité Intercommunautaire pour l’Assainissement du Lac du Bourget), dont le but est de mettre en œuvre un plan d’actions tendant à adapter les usages de l’eau au changement climatique.
Dans le cadre de leurs compétences respectives, le CISALB et Grand Chambéry accompagneront techniquement et administrativement les Communes dans la bonne mise en œuvre de leurs plans d’actions.
Déjà impliquée dans des projets de préservation de l’eau, Bassens, en adoptant cette convention, pourra consolider son engagement et sensibiliser les Bassinot(e)s aux pratiques qui permettront de gérer la transition climatique le plus sereinement possible.
Les actions : récupération et utilisation des eaux pluviales, adaptation des espaces verts, du fleurissement, du fonctionnement des fontaines publiques, désimperméabilisation des sols, économie d’eau, réduction des pollutions par des grilles d’eaux pluviales, sensibilisation auprès des écoles, accompagnement à l’action citoyenne, soutien aux initiatives locales, propositions d’innovations.
Dans le cadre de la convention, la Commune de Bassens a fait installer une cuve de récupération d’eau de 10 000 litres aux abords de la Ferme de Bressieux. Elle vient compléter celles précédemment installées.
Téléchargez dès maintenant la plaquette du plan de gestion de la ressource en eau du CISALB
Votre avis compte !
Le CISALB lance une grande enquête à destination de tous les habitants du territoire du bassin versant du lac du Bourget.
Participez à l’enquête dès maintenant
Un site dédié a été créé par plusieurs partenaires : Grand Chambéry l’agglomération, la CCLB, Savoie Technolac, Savoie Hexapole et Alpespace (avec soutien financier du GIP Le Grand Lac et de l’Etat).
Sur le parking du gymnase du Chef Lieu.
Les demandes sont à déposer à la vélo-station en gare de Chambéry tél : 04 79 96 34 13.
Quelques conseils pour baisser votre facture de chauffage, et réduire les émissions à effet de serre.
L’isolation soignée d’un logement permet de réduire la consommation de chauffage par 3 ou 4. Un thermostat d’ambiance programmable permet de faire des économies de 10 à 20 %. Des appareils de chauffage bien entretenus : c’est 8 à 12 % d’énergie consommée en moins. Les chaudières « basse température » ou « à condensation » permettent d’économiser 25 à 40 % d’énergie.
Baisser la température de 1 °C permet de réduire de 7 % la facture de chauffage ! Dans une chambre, un niveau de 16-17 °C suffit. Fermer les radiateurs quand la pièce est aérée.
Des aides pour les énergies renouvelables : Près de 50 % de l’investissement pris en charge.
Renseignements: ASDER (Association Savoyarde pour le Développement des Energies Renouvelables) tél : 04 79 85 88 50
Conseil général de la Savoie : Guichet unique 04 79 96 75 22
La plantation de haies à moins de 2m de la limite du domaine public routier est interdite (art 116-2 du Code de la Voirie Routière)
Toute infraction pourra être punie de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe.
Bricolage, tondeuses, tailles haies ou autres engins à moteur thermique :
Les propriétaires ou utilisateurs de piscine sont tenus de prendre toute mesure nécessaire afin que les installations en fonctionnement ne soient pas sources de nuisances sonores pour les riverains.
Les propriétaires d’animaux ainsi que ceux qui en ont la garde sont tenus de prendre les mesures propres à préserver la tranquillité du voisinage, de jour comme de nuit.
Les covoitureurs qui utilisent la plateforme partenaire peuvent bénéficier d’une prime au covoiturage de 0,10€/km pour les conducteurs et les trajets de plus de 5km gratuits pour les passagers. Les entreprises sont encouragées à favoriser le covoiturage entre leurs employés. Cela participe à l’amélioration de leur bilan carbone, en réduisant les émissions de CO2 émises lors des trajets des employés pour venir sur leur lieu de travail.
